Stop suicide.
Abordons ensemble un sujet particulièrement important : les blessures traumatiques et la nécessité de déstigmatiser le recours à l’aide, en particulier pour les hommes, plus encore pour les policiers.
Les blessures traumatiques peuvent être physiques ou psychologiques, et nous sommes tous susceptibles d’en être victimes à un moment ou à un autre de notre carrière (vous, moi, les autres).
Bien que les blessures physiques soient souvent plus visibles, les blessures psychologiques peuvent être tout aussi graves et peuvent avoir des conséquences sur notre vie personnelle et professionnelle.
Oui, vous avez bien lu !
Sur votre entourage personnel, j’en ai été malheureusement témoin.
Ne perdez pas encore plus la santé, ni vos proches alors que des ressources sont accessibles à la PP.
Rendez-vous sur le site PMS de la PP, vous y trouverez des témoignages importants pour vous convaincre.
Osez demander de l’aide à la médecine de prévention, au SSPO, à Pros consulte, au 3114 !
Les femmes ont tendance à demander plus facilement de l’aide c’est valable aussi pour les blessures psychologiques, ce qui peut leur permettre d’être prises en charge plus rapidement et plus efficacement.
Cela montre que demander de l’aide n’est pas une faiblesse, mais plutôt un signe de force et de courage. Nous ferions bien de prendre exemple.
Il est important de comprendre que les blessures post-traumatiques peuvent avoir des répercussions sur notre environnement.
Par exemple, si nous sommes en colère ou anxieux à la maison, cela peut affecter nos proches et créer des tensions dans nos relations.
Ne négligez pas cet aspect chers collègues… ne tombez pas dans une spirale qui pourrait enchainer un tsunami dans vos relations avec les autres et conduire à vous isoler ce qui serait dramatique.
Nous devons donc prendre soin de nous non seulement pour notre propre bien-être, mais aussi pour celui de notre famille et de nos amis.
Si vous vous subissez par une blessure traumatique, il est important de savoir que vous n’êtes pas seul.
Il existe des ressources pour vous aider, telles que des consultations avec des professionnels de la santé mentale, des groupes de soutien et des programmes de prévention du suicide.
Demander de l’aide n’est pas une faiblesse, mais plutôt un signe de courage et de résilience.
Je tiens à souligner que la guérison est possible. Avec le temps, le soutien et les ressources appropriées, nous pouvons guérir de nos blessures traumatiques.
Il est important de prendre soin de nous-mêmes et de nos collègues pour maintenir notre bien-être mental et physique, ainsi que notre efficacité professionnelle.
En conclusion, je veux vous rappeler que vous êtes forts et que vous êtes capables de surmonter les défis que vous rencontrez.
N’hésitez pas à demander l’aide si vous en avez besoin.
Nous sommes tous dans le même bateau et nous devons nous soutenir mutuellement pour traverser les moments difficiles.
Pour les blessures post-traumatique pensez à la médecine de prévention.
