Il est décédé.Tout le monde sait de quoi, mais ne le dit pas. C’est tabou, et du coup, on n’en parle pas. Et pourtant, en parler sauve de nombreuses vies. Je parle de quoi ? »

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C’est un sujet qui touche profondément, qui fait peur, qui dérange.

Alors on le tait.On l’enrobe de silence, de malaise, d’euphémismes.

On dit « il n’allait pas bien », « il a eu un passage à vide », mais on évite le mot.

Parce qu’on a peur d’ouvrir une boîte trop lourde.

Parce qu’on ne sait pas comment en parler.

Parce qu’on croit – à tort – qu’en parler, c’est inciter.

Et pourtant, en parler, c’est prévenir.

Le suicide n’est pas une fatalité. Il est souvent le résultat d’un isolement, d’une souffrance tues trop longtemps, d’un mal-être qu’on n’ose pas nommer.

Mettre des mots sur cette douleur, c’est déjà ouvrir une brèche vers la lumière.

C’est dire à l’autre : je te vois, je t’écoute, tu n’es pas seul.Il y a un paradoxe cruel : tout le monde connaît quelqu’un qui a été touché, de près ou de loin.

Tout le monde a croisé cette détresse – parfois sans la voir. Et pourtant, ça reste tabou.

Pourquoi ? Par peur de mal faire ? Par gêne ? Par impuissance ?

Mais le vrai danger, c’est de se taire.Parler du suicide, c’est donner une chance à la vie.C’est briser l’isolement.C’est tendre une main.

Et souvent, ça suffit à faire la différence.

Alors qui contacter quand on est perdu ?

Le 3114, le numéro national de prévention du suicide. C’est gratuit et confidentiel.

Vous pouvez appeler pour vous ou pour autrui

Qu’attendez vous ?

Pour les policiers des sensibilisations PMS de proximité existent à la PP, on vous attends pour prévenir des suicides et leurs conséquences.

3114
3114

www.3114.fr

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